Le parcours du Dr Ehrik Jax Magnusson est atypique.
Tout débuta avec la mort de son grand père du cancer de la prostate et du poumon généralisé, il se jura de trouver un remède contre cette maladie.
Il axa donc ses études dans ce domaine en débutant avec un Bac scientifique au Lycée des Haberges à Vesoul, suivi d'un BTS biotechnologie à Luxeuil-les-bains ou il apprit les bases de la manipulation scientifique en recherche.
Mais son envie d'en connaitre plus le poussa à poursuivre ses études. C'est ainsi qu'il débuta son DEUG SV à l'université des sciences et techniques de Besançon suivi d'une Licence et d'une Maîtrise de biochimie biologie cellulaire et moléculaire avec un stage au Durham research center dans le Nebraska aux USA.
Ayant ainsi bien approfondi les bases en biologie moléculaire, en physiologie, en biochimie, en enzymologie il décida de se spécifier en génétique. C'est ainsi qu'il reprit le master de génome, cellule, développement, évolution spécialité génétique humaine de l'université de Paris XI à Orsay. Durant ce master, il fut formé à de nombreux domaines comme la génomique, la phylogénie, la génétique et la génétique humaine, l'épigénétique et réalisa un stage au CNRS au centre de génétique moléculaire dans le laboratoire de sénescence ou il découvrit un gène responsable du retour de la sénescence dans Podospora ansérina, le gène Rse2.
Ayant tout ce bagage et ces connaissances, il décida alors de réaliser son doctorat dans un laboratoire de recherche sur le cancer à l'étranger. Il passa avec succès des entretiens dans des laboratoires des Pays-bas, d'Ecosse, de Suisse et finalement son choix se posa sur l'Institut du Cancer de Montréal au Canada. Son inscription à l'Université de Montréal lui permis donc de débuter son doctorat sur de la recherche appliquée au cancer de la prostate notamment son sujet de doctorat étant: Les effets de l'IP6 sur le cancer de la prostate.
C'est ainsi qu'il découvrit cette molécule comme ayant des effets in vitro sur le cancer, découvert par le Dr Shamssudin en 1986. Il réalisa de nombreuses expériences très probantes sur les 4 types de cellules cancéreuses de la prostate utilisés dans ce laboratoire. Et il découvrit aussi l'absence de développement de tumeur chez des souris programmées génétiquement pour en développer ou chez des souris nude auxquelles on a injecté des cellules cancéreuses humaines avec un accroissement de vie de 250%.
Il chercha en vain un financement pendant plusieurs années avant de décider de le rendre accessible à tous en créant son entreprise Ino6tol.